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 Falvie E. Hollyn • never forgive never forget

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AuteurMessage
Falvie E. Hollyn
Patronus : scorpion
Animal de compagnie : gecko léopard
Devise : talk shit, get hit !
Parchemins : 6
Age : 32
Falvie E. Hollyn
Elève à Serpentard
Elève à Serpentard
MessageSujet: Falvie E. Hollyn • never forgive never forget   Falvie E. Hollyn • never forgive never forget EmptyVen 4 Oct - 20:01



falvie ether hollyn

Identité du Personnage


Âge : seize ans Maison : Serpentard Année d'étude : sixième Orientation sexuelle : bisexuelle Statut affectif : célibataire
Baguette : trenbre, crin de licorne, 27 cm Patronus : scorpion Épouvantard : l'intrus aka son petit frère Odeur de l'Amortensia : l'air lorsqu'un orage se prépare Balai : elle se sert dans les vestiaires de Quidditch quand il y a un cours Animal de compagnie :  gecko leopard





Histoire du personnage

C'est légal si je le veux

Ta jeunesse est un cliché répugnant, et qui n'aura été narrée qu'une seule fois, lors de ton admission pour remplir les archives de l'école. Aucun meurtre de masse, pas d'éducation pour haïr ceux qui ne te ressemblent pas, aucune mise en valeur de l'arbre familial, tu naquis comme une fleur dans la maison d'un couple de sorciers qui s'aimaient, tout simplement. Anciens élèves de Serpentard et s'étant connus lors de leurs années d'études, ils n'étaient pas, ou plus le stéréotype que chaque sorcier se faisait - et se fait encore - des héritiers de Salazar. Ton père était employé au ministère de la magie, et ta mère, cadre à l’hôpital Ste Mangouste, dirigeant une armée de magicomages qu'elle menait à la baguette, aussi inflexible qu'efficace.

Tu vis le jour le vingt octobre à dix-nruf heures.
Première enfant aussi blonde que tes deux géniteurs, tu grandis entourée de magie, éduquée par des parents aimants et encadrée par des règles strictes. Ils t'aimaient, tu les aimais, ils étaient parfois sévères mais toujours justes, et disposaient toujours d'une heure ou deux pour te raconter des histoires inventées sur le tas, qui continuaient, soirs après soirs, à rythmer tes nuits peuplées de créatures et de sorciers valeureux.

Vint évidemment le moment où tu grandis.
Où, avide de liberté, tu n’obéissais plus aux règles. Où, intelligente et très bonne élève, tu tenais tête à tes parents aimés, simplement pour leur rappeler que tu avais grandi et que tu désirais une nouvelle place familiale. Pas celle de l'enfant, mais celle de l'adolescente, bouleversée par les changements et les hormones. Ce moment où ils ne te connaissaient plus, alors que tu étais la même et que tu les aimais plus que tout.
Ce moment où ils pensèrent t'avoir perdu.
Et qu'ils conçurent un autre enfant.

Mes idées noires se dévergondent

Du jour au lendemain, tu disparus dans leur vie.
Tu avais à peine onze ans, et Poudlard te tendait les bras. Tu te souvenais encore très bien de ton père, toujours tendre et serviable, qui t'avait largué sur le quai 9¾ avec les affaires neuves achetées en vitesse, pour retrouver sa bien aimée et le bambin tout juste né.
Oh oui. Tu t'en souvenais si bien.
Des familles fières et heureuses. Des familles soudées ou pas, des disputes entre gosses, des amis qui se retrouvaient, d'autres qui se découvraient, des cris, des appels, des blagues, des rires...
Et toi.
Seule.
Oisillon tombé du nid sans jamais avoir appris à voler.
Tellement amère que le sol aurait pu fondre sous tes pieds.

Ta rancune grandit et prit une ampleur monumentale lors de ta première année. Agressive et malheureuse à en mourir, tu t’abattais sur ceux qui osaient te regarder, brisant tes petits poings sur leurs nez fragiles, mordant et griffant comme un chat sauvage, retrouvant une étincelle de vie par la rage et la violence.
Tu les haïssais. Tous. Férocement.
Mais une parcelle au fond de toi priait encore avec ferveur. T'affirmant qu'à ton retour, lors des vacances d'été, tu rentrerais à la maison et que tes parents te montreraient à quel point tu leur avais manqué. Tu recevais encore leurs lettres bien sûr, mais toutes parlaient exclusivement des progrès de...
l'intrus.
Le sale gosse qui t'avait volé leur amour.

Lorsque enfin, tu étais rentrée à la maison, tu avais découvert à quel point tu t'étais leurrée.
Car tes parents n'avaient d'yeux que pour lui. L'affection qu'ils avaient pour toi te paraissait illusoire, risible, à côté de ce qu'ils déployaient pour lui et que tu avais jadis eu.
Tu repartis plus froide que jamais.
Déclarant que plus personne n'aurait ton affection.
Plus jamais.

No need a king to be a Queen.

Ta supériorité n'est odieuse que pour ceux qui t'envient.

Ton cœur est froid.
Ce n'est pas que tu es méchante non. Enfin, pas réellement. Pas comme les autres peuvent l'entendre. Ce n'est pas une histoire de rapports de force où tu désires ardemment montrer que tu es la plus puissante, parce que tu ne ressens rien. Qu'ils se placent au-dessus où au-dessous de toi t'indiffère, puisque tu sais pertinemment que tu les vaux tous. Les plus jeunes comme les plus vieux, des fainéants aux grands studieux, tu les piétines de ta grandeur, juchée sur ce trône qu'est ton ego. Tu les contemples, presque attendrie par leur misère intellectuelle, ennuyée rien qu'à l'idée des réflexions inutiles qui hantent leurs crânes vides. Ce n'est pas de l'arrogance non ; c'est une réalité que tu assumes et que tu entretiens avec soin. C'est le seul brasier qui te réchauffe encore un peu, lorsque tes pensées vagabondent. Lorsque tu réalises que tu es seule, perdue dans une marée de visages anonymes, et que tu te rappelles que la trace laissée dans ton sillage est éclatante.
Tu les écrases tous.

Ton échelle de valeur n'est pas comme la leur. Tes échelons sont atypiques, peut-être crées en fonction de ton niveau, pour que tu sois placée toujours sur la dernière graduation. Mais tu t'en fous, parce que tu es en haut, un sourire sans joie collé sur tes lèvres pales, et tu ris de la distance qui vous séparent. Qu'ils sont loin, perdus dans un brouillard qu'ils finissent par affectionner, imaginant que leur sottise est commune et partagée. Qu'ils sont drôles, à s'imaginer intéressants, pire, captivants, à caracoler, naseaux frémissants et queue en panache, jeunes yearlings quittant tout juste l'ombre maternelle. Comme ils sont ennuyeux, à graviter autour de toi, pôle d'attraction car marginale, cherchant à attirer ton regard en crachant des sujets de conversations qui ne t'arrachent que des soupirs.

Et pourtant tu sais rire.
En vérité, le rire n'est rien d'autre qu'un énième outil de ta collection de comédienne. Rire est le propre de l'homme, mais rire de l'homme est ton credo. Provoquer est un jeu. Un mouvement des lèvres, rictus ou sourire, quelques battements de paupières et tu tourbillonnes autour d'eux, prenant l'habit d'une coqueluche, pour jouer quelques secondes. Tu provoques et t'en réjouis, manipulatrice que tu es, te distrayant à leurs dépens. Ils t'approchent, osent te toucher ? Ton masque de théâtre est posé et tu t'élances. Fais courir tes doigts sur leur peau, cherche leur regard, approche tes lèvres des leurs. Puis te dérobes dans un éclat de rire avant de disparaître. Les relations ? Tu ne les connais pas. Ou elles sont à sens unique. Peu de gens parviennent à imposer leur trace sur le carcan imperméable qu'est ta carapace ; leur passage glisse comme la pluie sur ta peau, mais ne la mouille pas.
Jamais.

Ils sont rares, ceux qui ont pu t'effleurer. Ceux qui t'approchent en cachant crocs et griffes afin de t'amadouer sont au mieux ignorés, au pire, exterminés. Dupe, tu ne l'as jamais été. Ou pas depuis très longtemps en tout cas. Pour dompter l'animal qui est en toi, il faut être patient. Proche, mais pas trop. Tenace, mais pas collant. Original, mais pas loufoque. Pour attirer ton regard, il faut être particulier, ou intelligent. Et seules ces deux catégories peuvent susciter assez de curiosité en toi pour te pousser à croiser leurs regards.
Car lorsque tu marches, ton regard est droit. Trop fier pour frayer avec la masse, il est à ton image, planant au dessus de la foule à la stupidité crasse, refusant tout contact avec leur contagieuse bêtise.

Il est si rare de te voir accompagnée que certains te considèrent comme un fantôme, spectre silencieux et hautain, une reine déchue qui refuserait de quitter son lieu de grandeur et de décadence. Ne te manque plus que la couronne pour asseoir ton rôle, créature solitaire qui pourtant, parvient à s'abaisser au niveau des humains. Quelques paroles échangées à tes côtés, une réplique particulièrement venimeuse à ton intention, un regard à demi voilé que tu n'étais pas censée voir, et tu t'avances, curieuse de découvrir le mouton noir du troupeau. Tu ne leur tends pas la main ; ils doivent se saisir de la tienne, et simplement rester eux-mêmes pour te prouver qu'ils possèdent assez d'intellect pour graviter dans ta sphère. Tu les tolères, bienveillante, et parviens même à t'attacher à certains, qui, en distillant leur délicieux poison autour d'eux, ont réussi à t’appâter. Ils sont si rares, et si noirs ! Car impératrice des venimeux, tu ne t'entoures que de serpents et autres spécimens au poison létal, bien plus passionnants que les athlètes au sourire bancal et les blondes aux yeux bleus et vides.
Tu ne collectionnes que les nuisibles.

Mais tu es malade, Falvie. Ils l'ignorent et ne le sauront jamais, mais ton encéphale est rongé par un mal que même ton ego ne peut enrayer. Une maladie de Moldu, ridicule. Avilissante. Qui te dévore jours après jours, parcelles après parcelles. Alzheimer. Précocement déclaré, comme s'il voulait se venger de tant d'arrogance et d’égocentrisme. Il est ton monstre, ton démon et te suit pourtant, ombre macabre ficelée aux talons. Te narguant d'un œil narquois que tu ne peux fuir. Chaque jour, tu t'éveilles en ayant oublié les péripéties de la veille. Page blanche. Les noms fuient les premiers ; les banalités aussi. Les cours, tu les retiens lorsqu'il t’intéressent, et fort heureusement, tu as tellement besoin de dominer ceux qui t'entourent que chaque parole prononcée par un enseignant est bue comme une source de jouvence. Mais ce qui ne te marque pas disparaît. Inéluctablement.
Alors tu as décidé de tous les détester.
Pour ne pas regretter d'oublier.





Hors-Jeu

Prénom ou Pseudo : necerti Âge : non Comment as-tu découvert le forum ? par une citrouille espionne ! Avatar : Megurine Luka Crédits : code par Eleantine et images par des anonymes /dies
HS : l'écriture est super claire et me détruit la rétine, y'a moyen de foncer un peu ? é_è Merci ♥ ♥



Dernière édition par Falvie E. Hollyn le Ven 4 Oct - 21:21, édité 1 fois
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Raven H. Zander
Baguette magique : Bois d'If et ventricule de dragon, 29 cm
Patronus : Un paon
Devise : Le temps est Père de Vérité.
Sortilège favori : Confringo, ça fait tout péter.
Parchemins : 78
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Professeur des Sciences Occultes & Directeur de Serpentard
Professeur des Sciences Occultes & Directeur de Serpentard
MessageSujet: Re: Falvie E. Hollyn • never forgive never forget   Falvie E. Hollyn • never forgive never forget EmptyVen 4 Oct - 20:31

Falvie E. Hollyn • never forgive never forget 846498serpvalid

Un personnage bien sombre avec un bel égo, hâte de voir ce que ça va donner dans tes Rps ^^. J'aime bien ton style d'écriture, le seul bémol serait cette histoire d'Alzheimer... Je ne suis pas sûr qu'à 16 ans on puisse parler de ça, mais plus de perte de mémoire chronique, car la maladie d'Alzheimer entraîne d'autres troubles bien plus dérangeant (comme le fait de ne plus savoir se faire à manger, oublier les sensations, ne plus sentir le chaud/froid par exemple)... Après si tu insistes pour garder cette maladie, pas de soucis pour moi, mais je pense que se sera difficile à jouer, mais si tu le sens... pas de soucis pour moi =)

Bref tu es quand même validée, je te met immédiatement ta couleur et tu as accès à ta sale commune ! Encore bienvenue parmi-nous et amuse toi bien !
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Lyle McDonny
Duels : Ree Hattaway |Gagné| ★ Merwan Alister |Perdu| ★ Sion Davies |En cours|
Année d'étude : 7ème année
Baguette magique : En bois de Laurier, trente trois centimètres, aile de farfadet
Patronus : Une chenille
Animal de compagnie : Une tortue
Devise : Qui vivra verra
Sortilège favori : Incendio
Parchemins : 262
Lyle McDonny
Elève à Gryffondor
Elève à Gryffondor
MessageSujet: Re: Falvie E. Hollyn • never forgive never forget   Falvie E. Hollyn • never forgive never forget EmptyVen 4 Oct - 20:37

Bienvenuuuuue Falvie sur M.Pumpkin ♥️
Pour l'écriture du forum je viens de foncer un peu. Je suis vraiment désolé >w< J'ai remarqué que selon les ordinateurs, la luminosité du forum diffère. Sur celui d'une amie et le miens par exemple, c'est assez différent... Enfin bon. xD J'espère que ça va mieux ainsi tout de même !

Excellent jeu sur le forum et si tu as des questions, n'hésite pas Falvie E. Hollyn • never forgive never forget 710129095 !
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https://magicpumpkin.forumactif.org
Falvie E. Hollyn
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Falvie E. Hollyn
Elève à Serpentard
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MessageSujet: Re: Falvie E. Hollyn • never forgive never forget   Falvie E. Hollyn • never forgive never forget EmptyVen 4 Oct - 20:47

Merci beaucoup c'est bien mieux ! ♥
Et oui, je sais que la maladie d'Alzheimer est assez complexe, mais sous sa forme précoce elle n'est pas agressive au début (la perte de notion spacio/temporelle n'arrive qu'environ cinq ans après l'atteinte à la mémoire) et comme je suis censée jouer Falvie à seize ans éternellement, ça peut se tenir xD
Merci en tout cas ! ♥
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MessageSujet: Re: Falvie E. Hollyn • never forgive never forget   Falvie E. Hollyn • never forgive never forget Empty

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Falvie E. Hollyn • never forgive never forget

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